C’est ce dicton qui a sans doute inspiré Lalasoa, jeune assistante sociale malgache, lorsqu’elle a décidé d’implanter une cantine scolaire au milieu d’un bidonville de Tananarive. C’était en 2003.

Son idée était de proposer un repas quotidien aux enfants de ce bidonville, à la condition qu’ils se rendent à l’école et qu’ils s’acquittent d’un montant symbolique (l’équivalent de 2 centimes suisses).

Quelques familles lausannoises qui avaient eu le privilège de rencontrer Lalasoa et qui ont constaté son sérieux, sa persévérance et son dynamisme ont décidé de soutenir son initiative. Il s’agissait de construire une structure offrant des conditions d’accueil et d’hygiène acceptables.

Ils ont été nombreux les amis et connaissances à avoir contribué financièrement à ce projet.

 

Qu’ils en soient tous remerciés!